12e Printemps des Poètes des Afriques et d’ Ailleurs

                             Du 14 au 22 mars 2015

                   Poètes insurgés des Afriques et d’Ailleurs

 

     

 

                                               Hommage à

Jacques Rabémananjara                  et                                Martial Sinda

 

Le cycle infernal des saisons broie telle une moissonneuse-laboureuse, et quel immense bonheur quand chante le Printemps et que les bourgeons de la néo-négritude au plein jour éclosent pour donner des fruits d’esprit coruscants qui brillent dans le ciel multicolore de France et de Navarre ! Le temps, ce puissant  fou joyeux et jaloux, nous transforme : nos cheveux très curieusement ont blanchi, nous avons perdu de bons camarades, mais pour la douzième année consécutive, nous sommes droits, nos cheveux au vent d’ hier et d’aujourd’hui, et nous remplissons notre mission noble de diversité culturelle, de rapprochement entre tous les peuples du monde. Nous sommes le Peuple de Lumière : nous sommes les Nègres Marrons, nous sommes indigénistes, nous sommes négritudiens, nous sommes néo-négritudiens, nous sommes Harlem Renaissance, nous sommes Blaxploitation, nous sommes Black is beautifull, nous sommes blues, nous sommes Bel air, nous sommes soul, nous sommes Gwoka, nous sommes nationalistes noirs , nous sommes rhapsodies nègres, nous sommes danses nègres, nous sommes Charlie, nous sommes HUMANISTES ; et nous saisirons les extrémistes au collet de la raison !  Notre belle société française est rongée de l’intérieur, et il faut vite intégrer à tout va, pour éviter les irrémédiables… qui nous guettent à chaque coin de rue, en plein jour !… Jadis, à une époque bien lointaine de moi,  où j’interrogeais le politique, je constatais avec stupéfaction que la France métropolitaine n’avait qu’une députée noire : Madame George Pau-Langevin, aux fondations remarquables et redoutables! Voilà un modèle pour les jeunes de quartier qui n’en finissent pas de se perdre et de renaître sous des manteaux d’emprunt, parfois dangereux, car leur pays les met aux oubliettes du water closet !  Combien y a-t-il de Noirs de France dans la diplomatie française en Afrique !?   Vous me direz ce n’est pas ethnique, je vous dirai, la bombe à retardement est en décompte, ne la laissez pas atteindre le point 0, le point de non retour ! « Nous sé Charlie » dit-on en créole des Antilles et d’Ailleurs. Messieurs les dirigeants n’abandonnez pas Charlie ! Nous sé Charlie Messieurs, Dames !!….N’abandonnez pas Charlie … Nous sé Charlie !!!...

Sur le plan poétique nous sommes bénis par les Dieux de France, des Afriques et d’Ailleurs, d’être encore là pour une lourde charge, un doublet historique, que le meilleur des écrivains n’aurait guère pu inventer : nous commémorons les dix ans de la disparition de notre parrain inaugural, le poète et nationaliste  malgache de la négritude Jacques Rabémananjara et les soixante ans du Premier chant du départ  du poète congolais de la négritude Martial Sinda, notre actuel parrain. L’ouvrage fut publié en 1955, par Pierre Seghers, un des Rois de l’édition de la Liberté,  lequel aidait les Nègres à ôter leurs chaînes et leur bâillon ! 

Dans notre belle patrie de France et de Navarre il y a toujours eu et il y aura toujours, quelles que soient les  époques, des Justes qui se lèvent et se lèveront en chœur  contre la barbarie, contre l’inacceptable…Ils seront célébrés par  l’Histoire impitoyable et clairvoyante ! Les plus étonnants de ces Justes, ce sont les Franc-Comtois du Village de Champagney qui dans leur Cahiers de doléances de 1789 ont demandé, purement et simplement, l’Abolition de l’esclavage des Nègres !!! Champagney comptait   2000 habitants au moment de la Révolution française.  Il  consignait dans l’article 29 de ses Cahiers de Doléances de 1789 :  «  Les habitants et communauté de Champagney ne peuvent penser aux maux que souffrent les Nègres dans les colonies, sans avoir le cœur pénétré de la plus vive douleur, en se représentant leurs Semblables, unis encore à eux par le double lien de la Religion, être traités plus durement que ne le sont les bêtes de somme..." (19 mars 1789). » Ce geste unique et singulier est, sans nul doute, plus fort et généreux  que les écrits de bien des philosophes de l’époque !  Cette revendication   précède de 59 ans l’Abolition définitive de l’esclave des Nègres  en 1848, et de 112 ans la reconnaissance de l’esclavage des Nègres comme un crime contre l’humanité !  Une loi faite par une autre vaillante Négresse-de-France-et-de-Navarre : Madame Taubira-Delanon. Un autre modèle pour les jeunes français d’ascendance africaine qui se perdent dans la farine politique de la France d’aujourd’hui, pourtant multicolore, multisexe, et, etc…Et où il y a des dindons … et forcément des Farces…

Au siècle dernier,  Le Champagnerot   René Simonin, digne héritier des Justes de son village, créa en 1971 la Maison de la Négritude et des Droits de l’Homme. Elle fut parrainée, dès sa création, par le poète-Président sénégalais et théoricien de la négritude : Léopold  Sédar Senghor. La Maison de la Négritude abrite un musée qui retrace l’histoire de l’esclavage et son abolition. En 2007, à la mort de Senghor, La Maison de la Négritude  est parrainée par  le révéré poète-inventeur du mot Négritude : le Martiniquais Aimé Césaire. La Maison de la Négritude, - où tous les gouvernants d’Afrique et d’Outre-mer devraient se rendre après avoir reçu la bénédiction de leur peuple ; - c’est sur ce lieu de pèlerinage que nous avons pris le parti d’ouvrir le 12e Printemps des Poètes des Afriques et d’ Ailleurs. La brigade de poètes et d’artistes de la néo-négritude déléguée lira en chœur le poème mémoriel « Clarté de l’aube » du Martial Sinda d’antan : «  Négrier, / Plaie incurable au poignet de l’Afrique. / L’air écœure. /  L’odeur du goémon vert ; / L’odeur des marais putrides ; / L’odeur des chicottes ; / l’odeur des cordes au cou ; / Suffoque les vagues furieuses / de mes pensées// Mes plaintes, mes pleurs, mes chants, / Dis-les pour moi, mon tam-tam ! ». Pour nous, cela vaut tous les trésors du monde, même si nos poches sont fièrement trouées comme celles de tout authentique  poète et artiste…Mais nos chaussures sont enivrées…de justice…C’est ainsi que nous marcherons jusqu’ au village de Ronchamp pour visiter le Musée de la mine avant de regagner l’auberge Les Moraines de Lepuix où nous éliront domicile et où nous nous produiront comme il se doit… Bien évidemment, nous installerons dans la région notre ambassadrice l’Anthologie des poèmes d’amour des Afriques et d’Ailleurs notre manifeste de la néo-négritude que j’ai signé, et qui devrait se trouver dans toutes les bibliothèques de France est de Navarre sous peine de faire le lit de la hyper-violence animée par l’égarement et le désespoir de fils de France, - entendez par là,  que l’exclusion culturelle systématique est Mère de l’égarement identitaire, [ d’éminents sociologues vous le dirons bientôt] - . Nous sé Charlie, nous sé l’assurance d’une société plurielle, harmonieuse  et plus juste !

Nous saluerons aussi vivement les 60 ans du premier film africain coruscant à savoir Afrique-Sur-Seine de Paulin Soumanou Vieyra, ce qui nous amènera par ricochets à honorer grandement  feu René Vautier, l’inoubliable  réalisateur d’Afrique 50, - lequel vient de rejoindre le monde des Ancêtres de sa Bretagne natale ! – et à féliciter chaleureusement l’Académie des César, qui enfin, après quarante ans d’existence, a attribué, entre autres,  les trophées du meilleur réalisateur, du meilleur film et du meilleur scénario à un Noir : le talentueux cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako auteur du film Timbuctu. Nous mentionnerons également, forcément, le soixantenaire  de la Conférence de Bandung, laquelle au Printemps 1955 fit entrée à grand fracas les pays du tiers-monde sur la scène politique internationale sous l’étiquette des non-alignés, en marge à la fois des Blocs Est et Ouest.

 Parmi ceux qui nous ont quitté en 2014, et qui nous sont chers, le poète haïtien de renom Jean Metellus, l’écrivain Sud africain blanc André Brinks engagé dans le lutte anti-apartheid (auteur d’Une saison blanche et sèche porté à l’écran par la Martiniquaise Euzhan Palcy), et la fine poétesse et romancière mystique  France Della Motte, laquelle fleurait bon la vieille société lilloise.  Jean Metellus et France Della Motte nous avaient fait l’amitié d’honorer notre festival printanier néo-nègre !

Enfin, en Avril, il y aura une réplique du Printemps des Poètes des Afriques et d’Ailleurs grâce au Printemps des arts croisés qui aura lieu du 24 avril au 3 mai dans la galerie du restaurant  Au bon coin (Paris 18e).

 A ce stade final de notre éditorial, nous nous devons de souhaiter, le plus sincèrement du monde, une longue retraite paisible et fort fructueuse, - dûment méritée -  à l’ancien  Président sénégalais Abdou Diouf, parrain de notre anthologie avec l’actuelle ministre française de l’Outremer George Pau-Langevin.

Ye cri !  Ye cra ! Ye Misticri ! Ye Misticra ! Est-ce que la cour dort, non la cour ne dort pas !!! Nous sé Timbuctu, Nous sé chrétien, nous sé Mandela,  nous sé musulman, nous sé animiste, nous sè jardin derrière case,  nous sé bouddhiste, nous sé juif, nous sé FFI, nous sé vraie France, nous sé tirailleur, nous sé justice !!! Ye cri ! Ye cra ! Ye Mistricri ! Ye Misticra !

Le soleil poind dans l’obscurité et les noirs cygnes rigolent…

 

A tous, excellent Printemps béni par  le bleu vol gracieux de blanches  hirondelles d’un ciel fraternel ; et que vive, éternellement,  la poésie debout, affranchie  de  toutes  contraintes ! […] ! Merci.

Veloma  tompoko,

Thierry Sinda

 

Le Président

 

COMITE D’ORGANISATION

Président : Thierry Sinda

Professeur de lettres, poète, sociétaire de la Société des Poètes français en charge de la Francophonie, critique de cinéma au magazine Amina, Directeur de communication du magazine Francophonie Actualités, conseiller littérature et cinéma du IIIe  FESMAN (Festival Mondial des Arts Nègres – décembre 2009), Président de l’Union pour la Nouvelle France, Secrétaire général de l’association des Amis de René Maran, Directeur général des Palabres Culturelles Internationales (www.palabresculturellesinternationales.com), co-fondateur de La Revue Littéraire du monde noir, et auteur d’une thèse de doctorat sur la négritude. Il a publié Voyage en Afrique à la recherche de mon moi enivré aux éditions Atlantica-Séguier (www.atlantica.fr) et Anthologie des poèmes d’amour des Afriques et d’Ailleurs aux éditions Orphie (www.orphie.net).

 

Directeur artistique : Moa Abaïd

Acteur, metteur en scène, arthérapeute et co-fondateur de radio beur et radio Soleil).

Contact : poetesdesafriques@voila.fr

                  Tel : 06 10 01 95 25

 

 

PARTENAIRES : Printemps des Poètes, Société des Poètes français,  Amina, Francophonie Actualités, Culture Femme Magazine, Grioo.com, Galerie Malaika-Jeanne de Savoie, africultures.com, L’Harmattan, sangonet.com, Sphère-Web-Infos (l’autre actualité), Agence tropiques,  Radio radicale ( Italie, Mohamed Ba), Midi Madagascar (Patrice Rabé),  Africa n°1 ("Afripolis" Dominique Douma ,"Transafricaine" Irène Dembé), Chaîne 3 Radio algérienne (Narriman Sadouni), Agenda des actions africaines en région parisienne (Jean-Paul Vanhoove), Mairie Paris 6e, Mairie Paris 11e , Mairie Paris 17ePrintemps des arts croisés ( Christiane  Corbel), Les Parrains du rire , APCV (Agence de Promotion et de Culture du Voyage), UPEM-Havast (Union des Poètes et Ecrivains Malgaches- section France ), AIMF (Alliance Internationale des Femmes de France et de Madagascar), Elise et Compagnie, Dominique Drouet et Colette Perrier, Philippe Gâteau (webmaster), Michaël Udofia (Photographe), le restaurant La Téranga (Paris 17e ) , L’ Est Républicain, Auberge Les Moraines de Lepuix (Franche-Comté /Pascale Delgrange), Office du tourisme de  Ronchamp (Franche-Comté), et Ambassade de Madagascar en France .

 

                             PROGRAMME 2015

 

-A BELFORT

 Samedi 14 mars

15h

Lectures-Dédicace autour de l’Anthologie des poèmes d’amour des Afriques et d’Ailleurs de Thierry Sinda (Orphie, 2013) avec Moa Abaïd (Algérie), Christiane Corbel (France), Houria (malgacho-comorienne), Sophie Cerceau ( Brésilo-beninoise), Denise Chevalier(Martinique), Ferdy Ajax (Haïti) et Thierry Sinda (Congo).

Mini-scène ouverte

 

16h30

Conférence-débat-cocktail : "l'insurrection du mouvement littéraire de la négritude" par Thierry Sinda . Lecture illustrative : Moa Abaïd , Denise Chevalier et Christiane Corbel

 

  20h

Concert de Lamine Cissokho

 

Exposition permanente : tableaux de personnages noirs de Pascale Delgrange


Lieu: Auberge Les Moraines
98, rue du Ballon D'Alsace
90 200 Lepuix

Tel : 03 84 26 37 14

 

 

 

-A PARIS

Jeudi 19 mars

19h30

Lectures-Dédicaces- scène ouverte-cocktail

Avec  Moa Abaïd (Algérie), Houria (malgacho-comorienne), Denise Chevalier(Martinique), Evelyne Pèlerin Ngo Maa (Cameroun), Daniel Illemay (Martinique), Anne Ogor (France), Antsiva (Madagascar), Thierry Sinda (Congo).

 

Musiciens : Pat (Bel Air) et Laurent Fonlladosa

 

Conférence-débat : « Antara un grand poète noir arabo-éthiopien du VI siècle après JC  » par Nadia Guerbas doctorante en anthropologie historique

 

Lieu : Société des Poètes français

16, rue Monsieur Le Prince

75006 Paris

Tel : 01 40 46 99 82

RER Luxembourg ou M° Odéon

 

 

Vendredi 20 mars

19h30

Lectures-Dédicaces- scène ouverte-cocktail

Hommages : Jean Metellus, France Della Motte

Avec Moa Abaïd (Algérie), Houria (malgacho-comorienne),Marie-France Danaho (Guyane),Rita Mamboundou (Gabon), Jean-Baptiste Tiémélé(Côte d’Ivoire), Nathalie Marchay (France), Monia Boulila (Tunisie) Alain-Alfred Moutapam (Bénino-Camerounais), Denise Chevalier (Martinique), Lionel Pellerin (franco-burundais), Fredy Jaofera (Madagascar),Rime Alsayed (Syrie),  Gilles M’arche ( France),  Iverline Diallo (Barbade), Ngongo Mbaye (Sénégal), Chiquita Quamba Ohin (Togo), Guy Mayembo (Congo),    Henri Moucle (Martinique),  Isam Alsadi( Tunisie), Francine Ranaivo (Madagascar),Jean-Joël Lemarchand (France),Victor Houtondji (Bénin), Ferdy Ajax (Haïti), Romuald Chery (Martinique), Houda Zekri (Tunisie), Habib Osmanie (Algérie) accompagné par le flutiste Christophe Merlino , Antsiva ( lit l’ une des premières poétesses malgaches : Joséphine Ranirina) et Thierry Sinda (Congo).

Conférence-débats : « l’insurrection de Ionesco à Jean Métélus » par Ferdy Ajax docteur ès Lettres

 Présentation de l’Anthologie dédiée à Charlie Hebdo par les Poètes francophones engagés pour le Justice et la Paix (sous réserve)

Musiciens : Batista et Jovino dos Santos (Cap vert) 

 

Lieu : Galerie Malaika-Jeanne de Savoie

17, rue de Savoie

75006 Paris

Tel : 06 41 82 27 94

M° Saint-Michel ou Odéon

 

 

Samedi 21 mars

15h

Lectures-Dédicaces- scène ouverte-cocktail

Hommage à Jacques Rabémananjara et Martial Sinda

Avec Moa Abaïd (Algérie), Houria (malgacho-comorienne), Rita Mamboundou (Gabon), Jean-Joël Lemarchand (France), Jean-Baptiste Tiémélé (Côte d’Ivoire), Henri Pemot (Congo),  Alain-Alfred Moutapam (Bénino-Camerounais), Chiquita Quamba Ohin (Togo), Fredy Jaofera (Madagascar), Denise Chevalier (Martinique),Raoul-Philippe Danaho (Guyane), Gilles M’arche ( France), Rime Alsayed (Syrie), Ferdy Ajax (Haïti), Francine Ranaivo (Madagascar), Nadia Guerbas (Algérie), Houda Zekri (Tunisie), Guy Mayembo (Congo)    Jeannine Dion-Guérin (France), Lionel Pellerin (franco-burundais), Iverline Diallo (Barbade), Romuald Chery (Martinique),  Eunide Darius (Gadeloupe), Patricia Salomon (Madagascar),Omoleï Pons-Dolo (franco-malienne) accompagné à la guitare par Charlene Andjembe et Thierry Sinda (Congo).     

 

Musiciens : Tinou Lavital (Guadeloupe), Eva Hakapoka (Cameroun), et Laurent Fonlladosa (France)

 

Conférence-débat : "Jacques Rabémananjara et Martial Sinda : essai d’histoire conceptuelle de deux poètes insurgés de la négritude" par Thierry Sinda.  Lecture illustrative : Moa Abaïd, Araine Sélassié-Crochet et Denise Chevalier.

 

Présentation : Méthodes ludiques d’apprentissage du français et de la musique par Tinou Lavital (Guadeloupe). Lignes de vêtements Art surToiles Par Rita Mamboundou (Gabon)

 

Humoristes : Les Parrains du rire animé par Yvan Noko et Hassen Saleh. Avec les humoristes du groupe et la chanteuse ivoirienne Amlan.

 

Lieu : Un Loft

 6,  impasse Popincourt

(au niveau 34 – 36  rue Popincourt)

Paris 11e

06 10 01 95 25

M° Voltaire

 

Dimanche  22 mars

15h

Lectures-Dédicaces- scène ouverte-cocktail dinatoire

 Avec Avec Moa Abaïd (Algérie), Houria (malgacho-comorienne), Rita Mamboundou (Gabon), Jean-Baptiste Tiémélé (Côte d’Ivoire), Chiquita Quamba Ohin (Togo), Alain-Alfred Moutapam (Bénino-Camerounais), Denise Chevalier (Martinique), Gilles M’arche ( France), Fredy Jaofera (Madagascar), Lionel Pellerin (franco-burundais), Rime Alsayed (Syrie), Ferdy Ajax (Haïti), Habib Osmanie (Algérie), Houda Zekri (Tunisie), Iverline Diallo (Barbade),  Eunide Darius (Gadeloupe),Evelyne Trân (franco-vietnamienne), Evelyne Pèlerin Ngo Maa (Cameroun),  Jean-Joël Lemarchand (France), Victor Houtondji (Bénin), Romuald Chery (Martinique),Francine Ranaivo (Madagascar), Nadia Guerbas (Algérie), et Thierry Sinda (Congo).

 

17h

 Présentation-débat : Noblesse d’Afrique de Hélène de Gobineau (livre d’une marraine de guerre de Tirailleurs sénégalais publié en 1946 par Fasquelle) réédition par Evelyne Trân aux éditions Présence Africaine, Paris, 2014. Lecture illustrative Moa Abaïd, Denise Chevalier et Thierry Sinda.

 

Musicien : Moa Abaïd

 

19h

Dîner de Clôture des poètes 12€ (prévente au 06 10 01 95 25)

 

Lieu : Restaurant « La Téranga »

48, rue Guy Môquet

Paris 17e

Tel : 01 42 28 05 05

M° Guy Môquet

 

Programme

www.neonegritude33.afrikblog.com

 

 

Affiche 12e Printemps des Poètes des Afriques 2015

Affiche 12e Printemps des Poètes des Afriques 2015